L’obésité est devenue l’un des défis sanitaires les plus débattus et sérieux du monde moderne. Bien qu’elle soit souvent sous-estimée ou envisagée uniquement sous l’angle esthétique ou social, cet état constitue en réalité un trouble métabolique chronique aux conséquences profondes pour la santé globale.
Avec l’élévation du niveau de vie, le mode de vie sédentaire et l’accès généralisé à une alimentation hypercalorique et peu nutritive, l’obésité touche des pans de plus en plus larges de la population — y compris les enfants et les adolescents. Mais que signifie réellement être obèse ? Existe‑t‑il différents types et degrés ? Comment est‑elle classifiée et quels risques comporte‑t‑elle pour les organes et les systèmes du corps ?
Dans cet article, nous examinerons en profondeur la nature de l’obésité, ses principaux types, les moyens de déterminer sa gravité et les conséquences à long terme qu’il ne faut pas négliger.
Qu’est‑ce que l’obésité ?

L’obésité est un état médical caractérisé par une accumulation excessive de graisses corporelles à un point susceptible de nuire à la santé. Contrairement à un simple surpoids, où la masse corporelle est légèrement élevée, l’obésité s’accompagne d’une augmentation cliniquement significative du tissu adipeux, notamment autour de l’abdomen et des organes internes.
La méthode la plus utilisée pour diagnostiquer l’obésité est l’indice de masse corporelle (IMC ou BMI), qui se calcule selon la formule :
IMC = poids (kg) / taille² (m²)
Selon les critères de l’Organisation mondiale de la Santé :
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Un IMC entre 25 et 29,9 est considéré comme un surpoids
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IMC ≥ 30 signifie obésité
Il est important de noter que l’IMC ne prend pas en compte le rapport entre masse musculaire et masse grasse, c’est pourquoi dans certains groupes — comme les sportifs ou les personnes âgées — il peut ne pas refléter exactement le risque.
Dans les divs suivantes, nous examinerons les raisons pour lesquelles les gens prennent du poids, les différents types et degrés d’obésité, ainsi que ses effets sur la santé.
Pourquoi les gens deviennent-ils obèses ?
L’obésité survient lorsqu’à travers une certaine période de temps l’apport énergétique (les calories provenant des aliments et des boissons) dépasse la dépense énergétique (activité physique, métabolisme, thermogenèse). Bien que cette formulation semble élémentaire et présente en grande partie le problème réel, la réalité est bien plus complexe.
Les causes résident dans les habitudes, l’état émotionnel, l’environnement, la biologie et les facteurs sociaux. Le mode de vie moderne — avec une alimentation abondante, peu de mouvement et un stress chronique — crée des conditions idéales pour le surpoids.
Facteurs de risque
L’obésité ne survient pas du jour au lendemain, ni uniquement par manque de volonté ou par « excès alimentaire ». C’est un processus complexe dans lequel interviennent de nombreux facteurs — biologiques, comportementaux, psychologiques et sociaux. Parfois un seul facteur peut déclencher une série d’événements, d’autres fois plusieurs se renforcent mutuellement. Il est essentiel de reconnaître ces mécanismes pour les aborder efficacement, plutôt que de simplement les stigmatiser.
Régime alimentaire malsain

Une des principales causes est la consommation excessive d’aliments très caloriques à faible valeur nutritive — chips, restauration rapide, sucreries, boissons à haute teneur en sucre. Non seulement ils apportent des calories, mais ils créent une dépendance en activant le système dopaminergique dans le cerveau, semblable aux stimulants. On ressent une satisfaction momentanée, mais ensuite on en cherche davantage.
Manque d’activité physique
L’activité physique n’est pas seulement un moyen de « brûler des calories » — elle régule des hormones comme l’insuline, la ghréline et la leptine, qui influencent directement l’appétit et le stockage des graisses. Le mode de vie sédentaire, surtout à l’ère numérique moderne, est l’un des facteurs de risque les plus sous-estimés. Des heures devant un écran remplacent les jeux actifs pour les enfants et les promenades pour les adultes.
Prédisposition génétique
La génétique joue un rôle important. Si des membres de la famille souffrent d’obésité, la probabilité de développer le même état est plus élevée. Cela ne veut pas dire que le destin est scellé — cela signifie plutôt qu’il faut davantage de conscience et des efforts ciblés pour maintenir un mode de vie sain.
Troubles hormonaux et métaboliques
Des conditions telles que l’hypothyroïdie (fonction réduite de la thyroïde), le syndrome des ovaires polykystiques (SOPK), la résistance à l’insuline et le syndrome métabolique compliquent grandement la régulation du poids. Dans ces cas, le corps stocke des graisses même avec un apport modéré en nourriture, et l’appétit est souvent augmenté à cause d’un retour hormonal perturbé.
Facteurs psychologiques et émotionnels
Beaucoup de personnes mangent pour faire face au stress, l’anxiété, l’ennui ou la dépression. Ce qu’on appelle « l’alimentation émotionnelle » devient un mécanisme pour gérer les émotions plutôt qu’un moyen de satisfaire une faim physiologique. Cela crée un cercle vicieux — plus on mange à cause des émotions, plus on se sent mal, ce qui mène à encore plus de nourriture.
Médicaments
Certains médicaments, comme les antidépresseurs, les antipsychotiques, les corticostéroïdes et les thérapies hormonales, peuvent entraîner une augmentation de l’appétit, une rétention d’eau et des modifications métaboliques qui favorisent la prise de poids. En cas de prise prolongée, il est important d’être suivi par un spécialiste et d’ajuster en temps utile.
Troubles du sommeil

Un sommeil insuffisant ou de mauvaise qualité influence les hormones qui régulent la faim — la leptine (signal de satiété) diminue tandis que la ghréline (qui stimule l’appétit) augmente. Cela conduit à davantage de repas et le plus souvent — à des envies de sucré et de glucides.
Environnement social et économique
Dans les groupes sociaux plus modestes, l’accès à une alimentation saine est souvent limité, et le quotidien est plus stressant. L’absence de lieux sécurisés et accessibles pour bouger (parcs, salles de sport) joue aussi un rôle. Quand une gaufre coûte moins cher qu’une pomme — les résultats sont prévisibles.
Types d’obésité
L’obésité n’est pas un état homogène — il existe différentes formes selon l’origine, le mécanisme de stockage des graisses et la manière dont elles se répartissent dans le corps. Comprendre ces distinctions est essentiel tant pour le diagnostic que pour le choix du traitement approprié.
Classification étiologique — selon la cause :
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Obésité primaire (essentielle)
Il s’agit du type le plus fréquent et il est généralement dû à un déséquilibre entre calories ingérées et calories dépensées, combiné à une prédisposition génétique et à l’influence de facteurs environnementaux. Il n’existe pas de maladies sous‑jacentes expliquant cet état. -
Obésité secondaire
Dans ce type, des affections médicales spécifiques ou des médicaments sont à l’origine de la prise de poids. Parmi les exemples figurent l’hypothyroïdie, le syndrome de Cushing, les tumeurs de l’hypothalamus et la prise de corticostéroïdes ou d’antipsychotiques. -
Obésité syndromique
Elle survient dans des maladies génétiques ou chromosomiques rares, où l’obésité fait partie d’un tableau clinique plus large. Il s’agit de syndromes tels que Prader‑Willi, Bardet‑Biedl et Alström. Ils s’accompagnent souvent de retard mental, de troubles hormonaux et d’anomalies du développement.
Classification morphologique — selon le mécanisme d’augmentation du tissu adipeux
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Obésité hypertrophique
Elle est caractéristique chez l’adulte — les cellules adipeuses (adipocytes) augmentent de volume, mais non en nombre. C’est la variante la plus fréquente et potentiellement réversible, surtout avec un traitement approprié et un régime alimentaire. -
Obésité hyperplastique
Elle survient principalement chez l’enfant — le nombre de cellules adipeuses augmente. Ce type d’obésité est plus difficile à maîtriser, car les cellules adipeuses ne disparaissent pas, elles diminuent simplement de taille lors d’une perte de poids. -
Obésité mixte
Combine hypertrophie et hyperplasie des adipocytes et est considérée comme la forme la plus résistante et difficile à traiter. Elle est souvent observée chez des personnes souffrant d’obésité sévère et prolongée depuis un jeune âge.
Classification clinique – selon la répartition des graisses
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Obésité androïde (centrale, en forme de “pomme”)
Les graisses s’accumulent principalement au niveau de l’abdomen et du torse. Plus fréquente chez les hommes, elle est associée à un risque accru de maladies cardiovasculaires, de résistance à l’insuline et de diabète de type 2. -
Obésité gynoïde (périphérique, en forme de “poire”)
La graisse excédentaire est principalement localisée sur les hanches et les fesses. Plus fréquente chez les femmes. Ce type d’obésité est moins lié aux maladies cardiovasculaires, mais plus difficile à réduire. -
Type mixte
Combine les caractéristiques des deux types précédents et est souvent observé chez les personnes atteintes d’une obésité avancée.
Autres classifications
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Obésité hypothalamique – causée par des lésions de l’hypothalamus (par exemple après un traumatisme, une tumeur ou une chirurgie), menant à une faim incontrôlable et à des troubles métaboliques.
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Obésité iatrogène – provoquée par la prise de médicaments ou des interventions médicales.
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Obésité psychogène – résultant de troubles psychiques tels que la dépression, l’anxiété ou des troubles du comportement alimentaire (par exemple l’alimentation émotionnelle).
Compléments appropriés en cas d’obésité
Degrés et indice d’obésité

L’obésité n’est pas un état homogène – elle comporte différents degrés de gravité, déterminés en fonction de l’indice de masse corporelle (IMC), également connu sous le nom de BMI (Body Mass Index). Il se calcule facilement :
Formule :
IMC = poids (en kilogrammes) ÷ (taille en mètres)²
Exemple :
Si vous pesez 90 kg et mesurez 1,75 m :
90 ÷ (1,75 × 1,75) ≈ 29,4
L’IMC est principalement utilisé pour évaluer le poids corporel chez les adultes et ne tient pas compte séparément de la masse musculaire, de la structure osseuse ou des graisses, mais il offre une bonne indication de base.
Classification de l’IMC et degrés d’obésité :
Catégorie |
IMC (BMI) |
Description |
Insuffisance pondérale |
Moins de 18,5 |
Risque accru de malnutrition, d’anémie, d’ostéoporose et de troubles hormonaux |
Poids normal |
18,5 – 24,9 |
Risque le plus faible de maladies, bonne fonction métabolique |
Surpoids |
25,0 – 29,9 |
Risque accru de syndrome métabolique, d’hypertension et de résistance à l’insuline |
Obésité de classe I |
30,0 – 34,9 |
Stade initial de l’obésité, risque accru de diabète et de maladies cardiaques |
Obésité de classe II |
35,0 – 39,9 |
Risque significatif de maladies chroniques et qualité de vie réduite |
Obésité de classe III |
40,0 et plus |
Aussi appelée obésité morbide – risque de santé extrêmement élevé |
L’obésité morbide, ou obésité pathologique, est une condition médicale sérieuse associée à un risque sanitaire extrêmement élevé, affectant le fonctionnement de tous les organes et systèmes.
Quelles sont les conséquences de l’obésité ?
L’obésité n’est pas seulement un problème esthétique ou social – c’est une maladie chronique qui affecte presque tous les systèmes de l’organisme. Plus le degré d’obésité est avancé, plus le risque de complications graves, voire mortelles, est élevé. Voici les principales conséquences, analysées par système :
Conséquences métaboliques et endocriniennes
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Résistance à l’insuline et diabète de type 2 : L’excès de tissu adipeux réduit la sensibilité à l’insuline, ce qui entraîne une élévation persistante de la glycémie.
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Syndrome métabolique : Association d’hypertension, de troubles de la glycémie, de triglycérides élevés et d’obésité abdominale.
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Troubles hormonaux : Réduction de la fertilité, syndrome des ovaires polykystiques chez les femmes, baisse du taux de testostérone chez les hommes.
Complications cardiovasculaires
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Hypertension : Le surpoids entraîne une surcharge du cœur.
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Athérosclérose et dyslipidémie : Taux élevés de cholestérol LDL et de triglycérides.
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Risque accru d’infarctus et d’AVC.
Troubles respiratoires
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Apnée obstructive du sommeil : Les graisses accumulées autour du cou et du thorax entravent la respiration normale pendant le sommeil.
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Essoufflement à l’effort : Une respiration rapide et difficile est observée même avec une activité légère.
Problèmes orthopédiques et musculo-squelettiques

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Arthrose : L’excès de poids provoque une usure prématurée des articulations, notamment des genoux et des hanches.
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Douleurs dorsales : La surcharge de la colonne vertébrale entraîne des hernies discales et des douleurs chroniques.
Conséquences psychologiques et sociales
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Dépression et anxiété : L’obésité mène souvent à une faible estime de soi, à l’isolement social et à des troubles émotionnels.
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Stigmatisation et discrimination : Particulièrement présentes dans le milieu professionnel et la vie sociale.
Risque oncologique accru
De nombreuses études associent l’obésité à un risque accru de :
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Cancer du sein
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Cancer colorectal
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Cancer de l’endomètre
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Cancer du pancréas et du foie
Lorsque l’obésité persiste pendant de nombreuses années, même modérée, le risque de maladies chroniques augmente considérablement. C’est pourquoi la prévention précoce et le contrôle du poids sont essentiels pour la santé globale.
Traitement de l’obésité

Le traitement de l’obésité est un processus en plusieurs étapes nécessitant une approche individualisée, combinant souvent des mesures comportementales, nutritionnelles, physiques, médicamenteuses et, dans certains cas, chirurgicales. Il n’existe pas de solution universelle – le succès dépend de la persévérance, de l’adaptation aux habitudes du patient et d’un accompagnement à long terme. Le traitement progressif de l’obésité repose sur les étapes suivantes :
1. Changement de mode de vie – la base de la thérapie
La première étape, incontournable, consiste à modifier son quotidien :
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Régime alimentaire : Plan alimentaire équilibré et hypocalorique, adapté à l’âge, au sexe, à l’activité physique et à l’état de santé. Éviction des aliments transformés, des acides gras trans et du sucre. Inclusion de fibres, de protéines et de graisses saines.
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Activité physique : Minimum 150 minutes d’activité modérée par semaine. La combinaison d’exercices cardio et de musculation offre des résultats plus durables.
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Interventions comportementales : Travail avec un psychologue ou thérapeute pour identifier et modifier les comportements alimentaires et habitudes de vie néfastes.
2. Traitement médicamenteux
Les médicaments sont prescrits uniquement dans certaines conditions, généralement lorsque l’IMC est ≥ 30, ou ≥ 27 en présence de pathologies associées. Les médicaments les plus couramment utilisés incluent :
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Orlistat : Inhibe l’absorption des graisses dans les intestins.
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Agonistes du GLP-1 (glucagon-like peptide 1) : Par exemple le liraglutide ou le sémaglutide – réduisent l’appétit et augmentent la sensation de satiété.
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Médicaments à action centrale : Régulent l’appétit en agissant sur le système nerveux central.
Le traitement médicamenteux ne remplace pas l’alimentation ni l’activité physique, mais les complète. Il doit toujours être encadré par un professionnel de santé.
3. Traitement chirurgical (chirurgie bariatrique)
En cas d’obésité sévère (IMC ≥ 40 ou ≥ 35 avec comorbidités) et d’échec des autres méthodes, une intervention chirurgicale peut être envisagée. Les procédures les plus courantes sont :
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Bypass gastrique
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Sleeve gastrectomie (gastrectomie en manchon)
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Bypass biliopancréatique
Ces interventions réduisent le volume de l’estomac et/ou modifient le trajet digestif, entraînant une perte de poids significative et souvent durable.
4. Suivi et accompagnement
Un suivi régulier par une équipe composée d’un médecin, diététicien, psychologue et kinésithérapeute est essentiel pour une réussite à long terme. Le soutien familial et communautaire est également fondamental.
Il n’existe pas de solution miracle contre l’obésité. Elle demande de la constance, de l’information, et bien souvent une approche thérapeutique globale. Chaque kilo perdu est un pas vers une vie plus saine et plus active.
Quand consulter un médecin ?

L’obésité se développe souvent progressivement et peut rester longtemps sous-estimée. Toutefois, certains signes indiquent clairement qu’une consultation médicale est nécessaire.
Si votre indice de masse corporelle (IMC) est supérieur ou égal à 30, cela entre déjà dans la catégorie de l’obésité et justifie une évaluation médicale. Même avec un IMC supérieur à 27 accompagné de conditions comme l’hypertension artérielle, le diabète de type 2, l’apnée du sommeil ou des troubles du profil lipidique, il est conseillé de consulter un spécialiste.
Autres situations dans lesquelles il est important de consulter un professionnel de santé :
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Prise de poids rapide ou inattendue, sans raison apparente ;
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Échecs répétés de perte de poids, malgré des changements dans l’alimentation et l’activité physique ;
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Apparition de symptômes tels que l’essoufflement à l’effort minimal, douleurs articulaires, fatigue chronique ;
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Sentiment accru d’anxiété, de honte ou de dépression, liés au poids corporel ;
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Antécédents familiaux de maladies cardiovasculaires ou métaboliques, ce qui augmente le risque.
Le médecin évaluera non seulement le degré d’obésité, mais aussi l’état des organes et des systèmes susceptibles d’être affectés. Si nécessaire, un plan d’action personnalisé sera établi – allant des changements de mode de vie à la thérapie médicamenteuse ou à l’orientation vers un endocrinologue, un diététicien ou un chirurgien. Une intervention précoce est souvent essentielle pour prévenir les complications graves.
Foire aux questions

Que signifie avoir un IMC supérieur à 30 ?
Un IMC (indice de masse corporelle) supérieur à 30 indique une obésité – un état dans lequel la quantité de graisse corporelle atteint un niveau qui menace la santé. Cela nécessite une évaluation médicale et une intervention appropriée.
Est-il possible d’avoir un poids normal mais une accumulation nocive de graisses ?
Oui. Cela s’appelle « obésité métabolique avec poids normal ». Dans ce cas, les graisses s’accumulent principalement autour de l’abdomen et des organes internes, ce qui augmente le risque de diabète et de maladies cardiovasculaires.
L’obésité peut-elle être due à un problème hormonal ?
Oui, bien que ce soit rare. Des causes secondaires comme l’hypothyroïdie, le syndrome de Cushing ou la résistance à l’insuline peuvent contribuer à la prise de poids. C’est pourquoi, en cas de prise de poids inexpliquée ou difficile à contrôler, il est important de faire des examens médicaux.
L’obésité peut-elle être traitée uniquement par régime et sport ?
Dans les phases initiales – oui. Mais en cas d’obésité avancée ou de complications, des médicaments (ex. orlistat) ou même une chirurgie bariatrique peuvent être nécessaires. Le traitement doit être personnalisé.
La localisation des graisses sur le corps a-t-elle une importance ?
Oui. Le type androïde (autour de l’abdomen) est associé à un risque plus élevé de maladies cardiovasculaires et métaboliques, tandis que le type gynoïde (au niveau des hanches et cuisses) est moins risqué.
Sources :
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/books/NBK459357/
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